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Évaluation des effets à long terme des travaux de la CCE sur la conservation des oiseaux migrateurs (2015–2019)

La Commission de coopération environnementale (CCE) sollicite des propositions de la part de consultants·es potentiels·les pour procéder à une évaluation des effets à long terme de deux projets de conservation des oiseaux migratoires.

En 2015–2016, la CCE a mis en œuvre un projet intitulé Plan d’action sur les voies migratoires dans les Amériques – Initiative sur les oiseaux migrateurs de l’Arctique (IOMA) en vue d’améliorer les résultats en matière de conservation des oiseaux de rivage à risque. Ce projet visait à informer, à mobiliser et à mettre en relation les collectivités du Canada, du Mexique et des États-Unis qui se trouvent dans des sites clés et sont collectivement responsables du mieux-être de ces oiseaux.

Ce projet faisait partie de l’Initiative sur les oiseaux migrateurs de l’Arctique (IOMA) menée par le Conseil de l’Arctique, dont le plan de travail initial portait sur la conservation de deux espèces d’oiseaux de rivage : le bécasseau semipalmé (Calidris pusilla) et le bécasseau maubèche (Calidris canutus; sous-espèces rufa et roselaari). Il visait à appuyer les travaux des collectivités dans les plus importantes haltes de repos de ces deux espèces aux vastes aires de migration, le long des voies migratoires des côtes Atlantique et Pacifique. Ces espèces constituent des indicateurs clés de biodiversité pour d’autres espèces cooccurrentes.

En s’appuyant sur les travaux menés de 2015 à 2017, la CCE a mis en œuvre un projet intitulé Conservation des oiseaux de rivage avec la participation des citoyens, de 2017 à 2019. Ce projet (en quelque sorte la phase II du projet mené de 2015 à 2017) avait pour objectif d’effectuer une conservation effective dans chaque site au moyen des mesures qui avaient été définies pour chaque site, en utilisant des connaissances écologiques traditionnelles et locales pour accroître les mesures de conservation des espèces prioritaires durant tout leur cycle annuel, et de déterminer des pratiques exemplaires pour certaines mesures. Il visait aussi à faire le suivi de l’efficacité de certaines mesures et à analyser les incitations économiques et considérations clés associées à l’écotourisme.

Dates limites de présentation des propositions et de prise de décision

Toute proposition, y compris ses annexes pertinentes, doit parvenir aux bureaux du Secrétariat de la CCE au plus tard le 30 aout 2024 à 17 h, HNE. Les propositions présentées après cette date seront rejetées.

Les propositions doivent être transmises par courriel à rinfiesta@cec.org. Elles peuvent être présentées en format Microsoft Word ou Adobe Acrobat (PDF). Une fois qu’une proposition est transmise par courriel, la CCE en confirme la réception dans un délai de trois (3) jours ouvrables.

Le Secrétariat de la CCE entend sélectionner le·la consultant·e, et aviser les soumissionnaires dans un délai raisonnable à compter de la date limite de présentation des propositions.

Demande de propositions

Aperçu

État

Actif

Date limite

30 août 2024 à 17 h 00

Salaire/Budget

Le budget ne dépassera pas 22 000 $ CA (dollars canadiens).

Qui sommes-nous?

Les gouvernements du Canada, du Mexique et des États-Unis ont établi la Commission de coopération environnementale (CCE) en 1994 en vertu de l’Accord nord-américain de coopération dans le domaine de l’environnement, à savoir l’accord parallèle à l’Accord de libre-échange nord-américain en matière d’environnement. Or, depuis 2020 et conformément au nouvel Accord Canada‒États-Unis‒Mexique (ACEUM), elle est désormais régie par l’Accord de coopération environnementale (ACE). La CCE rassemble un éventail d’intervenants issus du grand public, de peuples autochtones, des jeunes, d’organisations non gouvernementales, du milieu universitaire et du domaine des affaires en vue de trouver des solutions qui permettent de protéger l’environnement que partagent les trois pays nord-américains, mais tout en favorisant un développement économique durable au profit des générations actuelles et futures.

La CCE réalise ses activités grâce au soutien financier du gouvernement du Canada, par l'entremise du ministère de l’Environnement et du Changement climatique, du gouvernement du Mexique, par l'entremise du Secretaría de Medio Ambiente y Recursos Naturales (ministère de l'Environnement et des Ressources naturelles), et du gouvernement des États-Unis, par l'entremise de l'Environmental Protection Agency (Agence de protection de l'environnement).

Nous vous remercions de l’intérêt que vous portez à la CCE et devons vous informer que nous ne contacterons que les candidats présélectionnés. Nous conservons les curriculum vitæ pendant six (6) mois et les prenons en considération si nous avons des postes appropriés à pourvoir pendant cette période.