Participation des collectivités à la conservation de la biodiversité marine grâce au Réseau nord-américain d’aires marines protégées
État actuel : Conclu
Plan opérationnel : 2011 et 2012
Les poissons n’ont pas besoin de passeport et traversent librement les frontières en se déplaçant à travers les zones de frai, les nurseries et les aires d’alimentation dont ils dépendent, et parfois sur de grandes distances. Et même s’il est souvent difficile de voir des poissons et d’autres animaux marins et de dénombrer leur population, on sait que la plupart des espèces occupent diverses zones océaniques durant toute leur vie. On a désigné sous le nom d’« aires marines protégées » (AMP) certaines de ces zones essentielles afin de restaurer et de maintenir la salubrité des océans et d’assurer une certaine protection contre des facteurs de stress tels que la pêche, la destruction des habitats et la pollution. Ces AMP peuvent constituer des réseaux de zones essentielles et offrir des lieux sûrs qui s’avèrent indispensables aux étapes de la vie de diverses espèces.
Projets liés
Conservation des espèces et des aires marines qui suscitent des préoccupations communes
Plan opérationnel pour 2010
Plateforme nord-américaine d’échange d’informations en ligne sur les changements climatiques
Plan opérationnel pour 2013 et 2014