Le 13 juin prochain, participez à notre webinaire : La CCE et ses mécanismes de participation du public et d’engagement communautaire
Joignez-vous à la Commission de coopération environnementale (CCE) pour un webinaire d’introduction portant sur la CCE et ses mécanismes de participation du public, d’engagement communautaire et de transparence.
Proposé dans le cadre du projet de Réseau de collectivités pour la justice environnementale (RCJE), ce webinaire est ouvert au public et offre un aperçu général de l’organisation et de ses travaux en matière de justice environnementale en amont de la session du Conseil de 2024.
Ce webinaire d’introduction présentera l’histoire de la CCE, sa mission, sa structure et ses priorités stratégiques. Il mettra l’accent sur la mobilisation des Autochtones et le rôle essentiel du savoir autochtone (SA) dans le cadre des projets de l’organisation et du travail du Groupe de spécialistes sur les connaissances écologiques traditionnelles (GSCET). Il portera également sur les mécanismes de participation du public de la CCE, dont le Comité consultatif public mixte (CCPM), le processus de communications sur les questions d’application (SEM) et les possibilités en matière de science communautaire et de mobilisation des jeunes.
Le webinaire donnera un aperçu des travaux réalisés par la CCE pour renforcer la justice environnementale grâce à ses programmes de subventions destinés à soutenir les mesures de protection de l’environnement et la résilience aux changements climatiques à l’échelle communautaire partout en Amérique du Nord. Il offrira également un aperçu de la prochaine session du Conseil, dont le thème sera « Renforcer la justice environnementale grâce à l’autonomisation des collectivités ».
Date : le 13 juin 2024
Heure : 13 h à 14 h (HAE)
Ce webinaire se déroulera en anglais, avec services d’interprétation simultanée en français et en espagnol.
Le projet RCJE vise à constituer un réseau de collectivités qui ont des préoccupations en matière de justice environnementale, afin de renforcer leurs capacités sur le plan local, et d’accroître et de diffuser leurs compétences, l’expérience qu’elles acquièrent et l’orientation qu’elles prennent relativement aux changements climatiques.
Dans le cadre du Réseau, les collectivités participantes contribueront à faciliter les processus d’apprentissage et de partage des connaissances, tout particulièrement les connaissances et les pratiques traditionnelles. Elles créeront des ressources afin d’accroître l’adaptation au climat et l’atténuation de ses répercussions, et de renforcer les capacités des collectivités autochtones, locales et vulnérables du Canada, du Mexique et des États-Unis. Apprenez-en davantage sur le projet ici.
Pour en savoir plus à propos des activités, opportunités et efforts de la CCE, nous vous invitons à vous inscrire pour recevoir notre bulletin et à nous suivre sur les médias sociaux.
Qui sommes-nous?
Les gouvernements du Canada, du Mexique et des États-Unis ont établi la Commission de coopération environnementale (CCE) en 1994 en vertu de l’Accord nord-américain de coopération dans le domaine de l’environnement, à savoir l’accord parallèle à l’Accord de libre-échange nord-américain en matière d’environnement. Or, depuis 2020 et conformément au nouvel Accord Canada‒États-Unis‒Mexique (ACEUM), elle est désormais régie par l’Accord de coopération environnementale (ACE). La CCE rassemble un éventail d’intervenants issus du grand public, de peuples autochtones, des jeunes, d’organisations non gouvernementales, du milieu universitaire et du domaine des affaires en vue de trouver des solutions qui permettent de protéger l’environnement que partagent les trois pays nord-américains, mais tout en favorisant un développement économique durable au profit des générations actuelles et futures.
La CCE réalise ses activités grâce au soutien financier du gouvernement du Canada, par l'entremise du ministère de l’Environnement et du Changement climatique, du gouvernement du Mexique, par l'entremise du Secretaría de Medio Ambiente y Recursos Naturales (ministère de l'Environnement et des Ressources naturelles), et du gouvernement des États-Unis, par l'entremise de l'Environmental Protection Agency (Agence de protection de l'environnement).